Actualités

header
Gagnez des places pour les dernières dates de la tournée d'Olivia Ruiz !

Les gagnants des places des concerts de décembre n'ont pas encore été tirés au sort, 
il est encore temps de vous inscrire.

Le concours, c'est ICI






Les concerts à venir : sur cette page


Prochaines apparitions télé et radio : 

  • Samedi 23 novembre 2013
France Inter, 20h-22h : Soirée spéciale Big Band à Trenet
"À l'occasion du centenaire de la naissance de Charles Trenet, France Inter propose à ses auditeurs de vivre une soirée très spéciale et en musique. Une émission à vivre en public le mercredi 20 novembre, à 20h à la Maison de la radio.
Sous la houlette de l’Orchestre de Fred Pallem et de son « Sacre du tympan », de grands artistes vont s’adonner à de très belles reprises de Charles Trenet. En public, dans le studio Charles Trenet, Luz Casal, Féloche, Féfé, Baptiste Trotignon, Raphael Gualazzi, Orelsan, Catherine Ringer, Sanseverino, Philippe Katerine, Olivia Ruiz, Bertrand Belin, Sandra N’Kaké, BB Brunes ... chanteront Trenet !
Une émission à vivre en public le mercredi 20 novembre, à 20h à la Maison de la radio ou sur France Inter, le samedi 23 novembre, à 20h."


Interviews :

  • Jack et la mécanique du coeur, nouveau clip (cliquez sur l'affiche du film pour accéder à la vidéo)

    affiche film



  • Olivia Ruiz était à Hazebrouck (59) vendredi 22 novembre La Voix du Nord, 23/11/2013, Raphaëlle Remande

     Olivia Ruiz présentera son album « Le calme et la tempête » à l’Espace Flandre. PHOTOS BRUNO FAVAVDN


    "Tout en elle est tellement mignon. Son serre-tête à multiples paillettes, sa bouche au rouge (vif) à lèvres, son petit doigt qui remonte délicatement le fil de son micro. Technique vocale parfaite et spectacle au tempo millimétré. On s’est dit qu’Olivia Ruiz réussirait à dégeler une banquise. La tête d’affiche de l’année à Hazebrouck a transporté plus de mille spectateurs, ce vendredi, à l’espace Flandre. Elle sera ce samedi soir à Grossemy à Bruay devant presque autant de spectateurs. Et il reste des places.
    Sur scène, elle a au-dessus de sa petite tête angélique, un voile blanc qui figure un nuage. Pendant près de deux heures, Olivia Ruiz réussit à transporter dans un univers bien à elle, fait de rêveries mâtinées d’un grain d’exotisme. Alternant émotion, rire et déchaînement d’énergie.
    « Voulez-vous quitter Hazebrouck ? » Après une entrée fracassante, Olivia Ruiz, petite robe noire pailletée, petite silhouette virevoltante, s’adresse au public. « Non mais vous savez, je suis née dans un village de 700 habitants, dit-elle de sa belle voix où affleure l’accent du sud. Alors pour moi, Hazebrouck, c’est la mégalopole européenne. » Ce sont peut-être les mêmes mots qu’elle donne à ses différents publics, mais ils sont là. Fonctionnent et transportent. De même quand elle invite l’assistance à chanter, encourage, s’enthousiasme, applaudit elle-même sur une très belle version de « Elle panique » : « Ah là, vous êtes dans le top 3 des publics. » Bref, un vrai voyage dans le monde d’Olivia Ruiz.
    Direction… Cuba, par exemple. La chanteuse, qui a travaillé son dernier album Le Calme et la tempête là-bas, invite l’un de ses musiciens, « le beau Nasser », à entrer dans le bal. C’est parti pour un déhanché… hum, comment dire… très « chaleur ». À intervalles réguliers, l’artiste se lance elle-même dans un tourbillon de danse, esquisse pas contemporains, se déhanche, twiste, saute.

    Du grave, de l’émotion

    Et puis il faut reconnaître à Olivia Ruiz qu’elle est une vraie bête de scène. Comme elle sait tout faire avec sa voix – du plus grave à l’aigu – elle sait ralentir le tempo de son spectacle pour faire apparaître l’émotion. Au détour d’une balade, lorsqu’elle supplie « juste une fois caresser ta peau blanche » ( « Belle à en crever »), lorsqu’elle cajole (d’une voix à la Nancy Sinatra) sur « Crazy Christmas », lorsqu’elle met sa voix grave au service d’histoires complexes (comme dans la magnifique « Je photographie des gens heureux »).
    Et quand elle évoque son histoire à elle, le café où elle a grandi « à Marseillette », qui a donné lieu à l’une de ses chansons « chouchou », elle confie : « Certains de ces proches qui ne sont plus, existent encore grâce à vous, parce que vous avez aimé cette chanson. » Alors, à l’espace Flandre, hier, chacun des 1 000 spectateurs a repris, en communion, « J’traîne des pieds ». Et peu sont repartis, après près de deux heures de voyage musical, en traînant des guibolles."

    (Voir les photos)



    Interview

    Par MARIE CAROF-GADEL

    En plein milieu de votre tournée, vous vous êtes offert une escapade sur la scène du Grand théâtre de Grenoble pour jouer une gitane dans le ballet pantomime « L’Amour sorcier ». Une belle expérience ?
    « C’était génial et ce n’est pas fini ! Nous serons sur la scène de l’Opéra comique à Paris en avril avec ce spectacle. C’était violent, physiquement épuisant car je venais d’enchaîner quatre-vingt-dix concerts. J’ai eu l’occasion de travailler avec des gens très exigeants pour qui la danse est une question de vie ou de mort. C’était plus qu’épanouissant. »

    Retrouver la tournée avec Le calme et la tempête, c’est retourner en terrain connu, le « train-train quotidien » ?
    « Oh non ! Car dans notre métier, la routine n’existe pas ! J’en ai profité pour changer le spectacle, l’ordre des chansons. Quand une tournée a été interrompue, on doit retrouver l’équipe, lui donner de nouveaux challenges pour aller encore plus loin. »

    Vous avez déjà présenté votre album Le calme et la tempête partout en France au cours d’une tournée marathon. Quel accueil vous a réservé le public ?
    « Un superbe accueil. Pourtant, la mise en scène est moins facile d’accès : elle est plus sombre, plus adulte que celles des précédents spectacles. Mais que le public se rassure : je ne peux pas faire l’impasse sur J’traîne des pieds, La femme chocolat… J’ai simplement envie que les gens voyagent, oublient la pesanteur du quotidien. J’aime les remplir de mon énergie débordante. Des fois, il faut aller chercher le public, se bagarrer. Tant pis si je perds 3 kg pendant un concert, je ne les lâche pas ! »

    On a beaucoup parlé de ce nouvel album, très personnel, que vous avez écrit seule pour la première fois… C’était un défi de vous dévoiler, d’ajouter ce risque supplémentaire ?
    « J’ai été la première étonnée de voir à quel point le fait que j’écrive seule faisait parler ! J’ai toujours écrit des chansons et les gens qui ont écrit pour moi avaient même tendance à me dévoiler plus que je ne le fais. Vous vous ennuieriez beaucoup à écouter mon histoire, elle est tout ce qu’il y a de normale. Alors j’en invente. C’est mon univers et je pense qu’il parle à ceux qui veulent bien m’écouter. »

    Pas trop fatiguée, après cette année extrêmement riche ? Prête à affronter le public hazebrouckois ?
    « C’est la première fois que je viens chanter à Hazebrouck, je ne connais pas du tout. Mais je suis encore portée par toutes ces émotions. Je sais déjà que je vais finir l’année sur les genoux et que j’aurais besoin d’un petit break en janvier mais cela en valait la peine ! Et puis je commence à écrire doucement de nouvelles chansons… Ce serait bien que ça traîne pas trop ! »

  •  Equinox Radio, l'Apéro, jeudi 21/11/13

    A l'occasion de sa venue à Barcelone le 30 novembre prochain, l'Equinox Radio interview Olivia par téléphone. Celle-ci explique qu'elle y est déjà venue, pour chanter bien sûr, mais également pour y passer des week-ends ou Nouvel An. Elle conseille aux auditeurs le quartier gothique, un restau bio et une librairie-BD derrière l'hôtel le Méridien. Son concert se jouera en français et en espagnol, selon les chansons. Concernant son point de vue sur les reprises, elle précise qu'elle préfère en faire dans l'amusement, mais pas pour en faire un album tant qu'elle a de l'inspiration. Elle s'estime "un peu trop jeune pour se permettre ça".
    Le podcast de l'émission ici bientôt.
  • Le Républicain Lorrain, 14/09/13. Olivia aime l'intimité.
    Auteur-compositeur et danseuse, Olivia Ruiz est aujourd’hui une artiste complète. Elle chantera à Sarreguemines le 15 novembre devant un public de fans qui attendent avec impatience sa venue.  Photo DR

Auteur-compositeur et danseuse, Olivia Ruiz est aujourd’hui une artiste complète. Elle chantera à Sarreguemines le 15 novembre devant un public de fans qui attendent avec impatience sa venue. Photo DR
Olivia Ruiz est en tournée. Avec ses musiciens elle va investir la scène de la salle de spectacles de l’hôtel de ville de Sarreguemines pour un concert demain vendredi.

Quelle est la setlist de votre concert ? Est-ce un mélange de vos albums ?
« Ce sont surtout des chansons du dernier album. Il y aura bien sûr des titres que des gens attendent comme les Crêpes aux champignons, J’traîne des pieds, La Femme chocolat. On sait que les gens les aiment donc on les joue. On peut ainsi dire que c’est un mix de mes quatre albums ! »

Comment se passe cette tournée ?
« Super bien, je suis heureuse de terminer cette tournée dans des salles un peu plus petites où l’on a plus d’intimité avec le public. La tournée se terminera fin janvier pratiquement un an après la sortie de mon dernier disque. »

Pendant la tournée vous avez le temps de penser à de nouvelles chansons.
« Je compose quelquefois dans le bus avec ma tablette. Elle me permet de pianoter quelques petites musiques, et j’écris aussi régulièrement sur la route. Un peu moins cette fois car j’ai participé à un gala de danse contemporaine à Grenoble qui m’a pris du temps. Du coup, là il faut que je me rebranche sur la tournée. »
 
Quels sont les thèmes qui nourrissent vos compositions ?
« J’observe beaucoup les gens que je croise. Mais je suis avant tout une raconteuse d’histoire. Le fait de lire, d’aller à des spectacles et au cinéma nourrit beaucoup mon imaginaire. »

Avez-vous d’autres projets en dehors de la chanson ?
« Non pas pour l’instant, par contre on va rejouer cet opéra chorégraphique – Histoire du soldat & El amor brujo – à l’Opéra-comique en avril 2014. »

Julien Doré a critiqué récemment la Nouvelle star en disant qu’elle n’offre plus d’opportunité de carrières aux jeunes artistes. Êtes-vous dans le même état d’esprit douze ans après la Star Ac ?
« Je ne sais pas, j’ai eu la chance que les choses s’enchaînent très vite pour moi. Pour le reste, cela fait deux ans que je n’ai plus de télévision car je trouve que c’est très abêtissant. Je préfère aller sur le net et composer moi-même mes programmes et voir ce qui m’intéresse. »

Et vous écoutez quoi ?
« Je découvre les artistes sur internet mais aussi par la presse et en allant voir des concerts. J’aime bien Cat Power, mais aussi Benjamin Biolay. Le dernier album que j’ai acheté est celui d’Arcade fire. »

Propos recueillis par Claude DI GIACOMO.

Retrouvez l'article sur le site du Républicain Lorrain.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire